Halloween
Le soir de tous les saints
Le soir du 31 octobre, des sorcières, des vampires et plein d’autres monstres vont se promener dans les rues pour réclamer des bonbons. Je parle bien évidemment de l’Halloween. Mais est-ce que cette fête s’est toujours déroulée ainsi? Et est-ce que les autres pays célèbrent aussi cette délicieuse tradition? C’est ce que vous découvrirez en lisant cet article.
En Irlande
L’Halloween est la veille de la Toussaint, le premier novembre. Or, le mot « Halloween » est un diminutif de « All Hallows Eve » en anglais, qui signifie « Le soir de tous les saints ». Cette fête a commencé en Irlande. À l’époque, quand les nuits commençaient à s’allonger, on croyait que les fantômes en profitaient pour venir hanter les gens. Pour éviter cela, ils ont commencé à se déguiser en terribles monstres pour les faire fuir. Cette tradition s’est ensuite propagée aux États-Unis quand des immigrants Irlandais sont arrivés.
En France
L’Halloween est très peu connue en France. En effet, ce sont les compagnies qui ont essayé de populariser cette fête, mais de manière tellement commerciale que l’idée a déplu aux français.
Au Mexique
Les Mexicains ne fêtent pas l’Halloween, mais plutôt la Fête des Morts. Puisque celle-ci se déroule le premier et le deuxième jour de novembre, on pourrait facilement voir un lien entre les deux fêtes. Pourtant, elles n’ont rien à voir et ce n’est qu’une simple coïncidence que les dates soient consécutives. Au Mexique, les habitants se retrouvent en famille, mangent des têtes de morts en sucre et vont au cimetière danser et chanter. C’est une fête pour rendre hommage aux proches décédés. Pour se faire, ils nettoient la tombe de leurs ancêtres et la décorent de chandelles et de petites fleurs oranges.
En conclusion, la fête de l’Halloween est un bon prétexte pour manger des bonbons et s’amuser avec sa famille et ses amis.
Sur ce, je vous souhaite de passer un excellent Halloween!
Par Rachel Starkey
« ANIMALIBUS NOCTU»
Par Mohamed Adam Kamal et Paul Vézina
Nous arrivâmes là-bas sans trop savoir à quoi s’attendre, un tantinet inquiétés par la foule
monstre qui patientait devant le pont. Après que les quelques retardataires de notre groupe nous
eurent rejoints, nous fîmes la file pour pénétrer sur la mystérieuse « Ile de Minlou* »…
Sitôt arrivés, des acteurs costumés nous mirent dans l’ambiance d’Animalibus avec un court
sketch. L’aventure put alors commencer.
De 7h à 11h se déroula une longue et « périlleuse » chasse aux indices partout sur l’Ile des
moulins. On nous avait remis une chandelle dont il nous fallait préserver la flamme du souffle des
wendigos (bêtes sauvages originellement humaines) avant de nous lancer à travers le parc infesté.
Notre mission : trouver des indices pouvant servir à innocenter une certaine sorcière promise au
bûcher et, au passage, vaincre le wendigo originel.
Les costumes était bien réussis et, malgré les quelques fauteurs de troubles, on put se prêter au
jeu assez facilement. Les énigmes, sans être irréalisables, nous forçaient cependant à nous creuser
la tête un minimum. Comme dans bien des jeux de ce genre, le plus amusant ne fut pas d’atteindre
l’objectif final, mais de parcourir le chemin qui y menait.
Obtenir une pièce d’argent de la part du ménestrel pour l’échanger à un fou contre une souris que
l’on irait ensuite offrir à un « simplet » en échange d’une bille. Reproduire sur un xylophone la
musique jouée par le fou, se faire la croix de purification sur le front, échanger la bille à un prêtre
contre de la monnaie, essayer de corrompre les acteurs avec celle-ci pour recevoir des indices
(sans succès), réveiller une mère ours, envoyer de la neige au visage d’un bébé ours, tuer le
wendigo originel avec un arc (sans raison apparente) et, finalement, se rendre au bûcher de la
sorcière pour l’innocenter avec les indices qu’avec tout cela nous avions oublié de chercher…
Finalement, malgré le peu d’information que nous recueillîmes, nous eûmes le droit de voter pour
la vie ou pour la mort de la sorcière. Quasi-unanimement, ce fut la mort qui l’emporta. La
présumée sorcière périt au bûcher au beau milieu des wendigos enragés.
Encore aujourd’hui, nous nous demandons si l’activité n’avait pas un peu manqué d’organisation,
mais, chose certaine, nous avons eu beaucoup de plaisir et vous invitons fortement à nous
rejoindre si la ville de Terrebonne organise une nouvelle activité dans le genre.
Minlou : « Moulin » dont les organisateurs ont habilement déplacé les lettres (pour ceux qui
n’avaient pas compris…)