La marmotte de ville et la marmotte des champs

Par un beau matin ensoleillé,

Deux marmottes bien entraînées,

Décidèrent de participer à la course de l’année.

4 tours, c’est bien assez.

Ainsi la plus révolutionnaire,

Étant appelée la première,

Était déjà dans la tourbière,

Pour attendre sa coéquipière.

Celle-ci n’étant pas à l’aise

Surtout de sa peau couleur fraise,

Alla sur la falaise,

Avant de rejoindre son adversaire.

Trois, deux, un, c’est parti!

Après ce coup de fusil

C’est ainsi qu’on comprit,

Que l’ennui n’était pas fini.

Car à l’avant dernier tour,

Appelé ainsi le vautour,

De ces ailes de velours,

Arriva au détour.

Effrayée par ce grand aigle,

Celle qui avait t’en peur d’elle,

Décida à grands coups d’aile,

De s’enfuir de plus belle.

Mais l’autre, voulant être la première,

Mais surtout pas la dernière,

Continua sans protéger ses arrières,

Même si l’aigle était derrière.

La plus sécuritaire bien caché,

Ne se fit pas trouver.

Mais l’autre trop sûr de gagner,

Devin ainsi un souper.

C’est pourquoi on ne doit jamais sous-estimer,

Quelqu’un qui veut vous dévorer,

Car ainsi vous allez,

Courir un grave danger.

 

 

Lili-Anne Bonin  186 mots

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