Les pierres à souhait

Un après-midi, au Canada, dans un site de fouille, je trouvais un petit coffre sans serrure. Je l’ouvris et découvris 4 pierres; une rouge, une bleue, une brune et une blanche. Au-dessus de chacune, était écrit : feu, eau, terre et air.

Il y avait aussi une petite lettre, il était écrit; celui qui trouve ces pierres pourra exaucer 4 vœux. Pour les faire, il faut mettre une pierre dans son élément et ensuite faire notre souhait. Alors, je pris les 4 pierres et les mis dans mon inséparable petit sac d’archéologue. Le petit coffre, je le vendis à un marchand de babioles pour une cinquantaine de dollars.

 Le lendemain, c’était le souper archéologie. Le souper archéologie est un grand souper organisé pour remercier tous les archéologues de chaque pays. Alors, le lendemain soir, à 6h14, je me rendis au souper sous un beau ciel sans nuage. Pendant toute la soirée, je me régalais de tous les bons repas sur la grande table. En fin de soirée, vers 9h00, je sentis une odeur de fumée. Tout à coup, une poutre enflammée tomba près de moi. Le bâtiment tout entier avait pris feu! La fumée augmentait, des débris en feu tombaient, le feu brulait. Alors, je pris les 4 pierres dans ma main, je remis les pierres eau, terre et air dans ma poche et gardai la pierre de feu. Je la jetai dans les flammes et fis le vœu de ne pas mourir dans cet incendie. Au même moment, un orage déchainé retentit à l’extérieur. La pluie éteignit le feu; mon vœu avait été exaucé.

 J’étais enfin en congé pour 3 semaines. Je pouvais enfin me reposer et terminer mon nouveau livre d’Amos Daragon. Alors, dans mon lit, je lisais mon roman. Tout à coup, le téléphone sonna, Je répondis, c’étais l’AAM, (association des archéologues de Mongolie) elle me proposait une fouille dans une clairière entouré de hautes montagnes). D’après mes congénères, il y aurait un squelette de dinosaure pas encore connu. Même si j’étais en vacances, je décidai d’y aller. Le jour du départ, j’embarquais dans un petit bateau se rendant en Mongolie. Après 3 jours, les gens dont leurs chambres étaient au premier étage, remontèrent en courant. J’arrêtais quelqu’un savoir ce qui se passait. Il me répondit que le bateau prenait l’eau. Je pris mes affaires et commença  à remonter. Cependant, l’eau me rattrapa. Je sortis alors la pierre d’eau et la lança dans l’eau en faisant le souhait de ne pas me noyer pendant cet incident. J’entendis alors la corne de brume d’un autre bateau! Je redoublais la cadence. Arrivé sur le pont, je vis un bateau beaucoup plus gros que le nôtre ; c’était un bateau de croisière. Nous étions sauvés !

Mon vœu avait fonctionné.

Il nous pris et je terminai mon voyage sur un bateau de croisière à me baigner, à manger, etc…

Arrivé en Mongolie, on m’emmena à l’aéroport ou était l’avion qui m’enverrait à l’endroit désiré.

Alors, je partis pour le site de fouille. Plus tard, un moteur s’arrêta. Le pilote et moi prirent chacun un parachute et sautèrent  de l’avion.  Je voulus tirer sur la corde pour que mon parachute s’ouvre mais il était coincé!

Je pris alors la pierre air et la lança dans les airs en faisant le vœu de ne pas m’écraser. Je vis le sol se rapprocher, se rapprocher encore, se rapprocher encore et encore et …. Pouf! J’étais vivant. J’étais tombé dans une grosse montagne de foin ; mon vœu avait fonctionné.  Le pilote avait atterri dans une forêt juste en arrière de moi.

Je suis allé le retrouver pour voir comment il allait : il n’avait rien. Je lui ai alors dit comment j’avais survécu. Je me souvins alors de la botte de foin qui appartenait surement à un fermier. Je revins sur mes pas avec le pilote pour voir si ce fermier avait un moyen de transport qu’il pourrait nous prêter. Le pilote vit le fermier arriver avec deux chevaux. Le fermier nous les donna parce qu’il savait l’importance de notre mission. Je partis alors, avec le pilote à l’endroit de fouille.

 Rendu au site de fouille, je fis la connaissance de Marc Dufour, le chef des opérations. Il me montra le squelette de dinosaure. J’étais impressionné par la conservation et de la grandeur de ce dinosaure. Les chercheurs l’avaient baptisé le Migoplonctus à cause de quelques explications scientifiques que je ne compris pas. Après l’exploration du site, je me mis au travail. Quand j’avais presque réussi à déterrer en entier le crâne… BRAOUMMMMMMMMM!!! Un tremblement de terre!

 Tout à coup, une coulée de boue commença à couler de tous les côtés à la fois… ou presque. Il y avait seulement l’arrière qui était dégagé. Cependant, cela menait à un cul de sac! Alors, je lançai la pierre de la terre dans la grande coulée de boue en faisant le vœu de ne pas me retrouver pris en-dessous de cette boue. J’entendis alors Marc crier qu’il avait trouvé une grotte! Nous étions sauvés! Nous pouvions nous réfugier ; mon vœu avait fonctionné. Malheureusement, le squelette de dinosaure n’avait pas pu se réfugier dans une grotte lui. Et il avait été englouti sous la boue. En attendant que les travailleurs enlèvent la boue du dinosaure, je m’achetais une maison en Mongolie. Je vendis ma maison au Canada parce que je reviendrais dans très longtemps… après avoir déterré ce fameux dinosaure!

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