Archives 2017-2018

#moiaussi

Gabriellle Hurteau, éditorialiste

Éric Salvail, Gilbert Rozon, Joël Legendre. C’est des noms que tu connais peut-être déjà, mais si tu les connaissais pas avant, tu vas certainement avoir un beau portrait de leur personnage maintenant. Les trois, ce sont des géants de l’industrie du divertissement au Québec. Salvail est partout. À la télé, à la radio, sur les réseaux sociaux, il a son nom sur dix millions de projets, et c’est tout à son honneur. C’est un homme de carrière, on ne peut pas le nier. Gilbert Rozon est le fondateur de Juste Pour Rire, il domine pratiquement le monde de l’humour au grand complet. On ne peut pas dire qu’il est petit dans le domaine, cet homme. Joël aussi, a une pas pire carte, au niveau de l’influence. Radio, télévision, journaux, apparences médiatiques, il est aimé de toutes les personnes qui ont vieilli avec lui. Il a un bon public et un beau sourire. Ces trois hommes-là, ont été accusés d’avoir participé et encouragé le harcèlement sexuel envers leurs collègues, employés, collaborateurs, amis, etc. Ce sont les images les plus frappantes qu’on a vues au Québec depuis des années par rapport au harcèlement de tout genre. Avant de te parler de qui ils ont blessés, on va commencer par le commencement : comment ce qu’ils ont fait se traduit par du harcèlement ?

C’est quoi, du harcèlement sexuel ?

J’ai tapé la question «Qu’est-ce que le harcèlement sexuel?» sur mon moteur de recherche, et tout de suite, je suis tombée sur le site de Jeunesse J’écoute, qui explique de manière simple ce qui peut se qualifier de harcèlement sexuel. «Le harcèlement sexuel désigne tout comportement verbal ou physique de nature sexuelle et non voulu. Il peut te faire sentir embarrassé, offensé, intimidé ou en danger, et ne devrait pas être ignoré.» Le harcèlement sexuel peut avoir lieu n’importe où, que ce soit à l’école, au travail ou en public, et ce n’est pas toujours un viol dans une ruelle sombre. Souvent, le harcèlement sexuel a lieu à la lumière du jour. Fixer quelqu’un du regard de façon inappropriée, c’est du harcèlement. Raconter des blagues à caractère sexuel, c’est du harcèlement. Par exemple, le père de ton partenaire qui te dit «on va partir pour la journée, vous allez pouvoir «f***» tranquille, hahaha», c’est du harcèlement sexuel ; personne n’est à l’aise dans cette situation là, mis à part le père.  Montrer ou envoyer (y compris en ligne) des photos, des dessins ou d’autres images non souhaitées à caractère sexuel, c’est du harcèlement. Ta «d*** pic», à moins d’être demandée, non merci. Exiger des caresses, des rencontres et des faveurs sexuelles, ça aussi, non merci. Poser des questions ou parler à quelqu’un de leur sexualité, de leurs relations sexuelles ou de leur corps, c’est du harcèlement à caractère sexuel. Tu n’as pas besoin de savoir c’est quoi, la taille de bonnet de la fille dans ton cours de maths, même si elle a des gros seins, ni de parler de la taille de ton pénis juste parce qu’il est «ben gros». Provoquer des contacts physiques injustifiés, incluant des attouchements non désirés, c’est du harcèlement sexuel. Sans enlever son pantalon, juste de te tenir le «paquet» devant une personne que tu essaies de charmer, c’est irrespectueux et bien souvent, ça a l’effet contraire. Utiliser un langage qui rabaisse quelqu’un à cause de son sexe, c’est non seulement méchant et non nécessaire, mais c’est aussi du harcèlement sexuel. Propager des rumeurs de nature sexuelle (y compris en ligne), pas besoin de te dire que ça entre dans la liste. Menacer de congédier ou de réprimander une personne si elle refuse des avances sexuelles (ce qui constitue des représailles), c’est très clairement une forme d’abus. S’adonner au harcèlement (comportement qui fait qu’une personne se sent en danger, par exemple des visites non souhaitées, des appels téléphoniques, des textos, des courriels ou des lettres, laisser des cadeaux ou surveiller la maison ou l’école d’une personne), c’est irrespectueux, et ça entre dans la catégorie du harcèlement.

 

Qui sont les victimes ?

J’ai consulté le site internet de CALACS, parce qu’ils sont le centre d’aide le plus important dans la région de Terrebonne, lorsqu’il est question de harcèlement à caractère sexuel sous toutes ses formes. Selon les statistiques disponibles sur leur site internet, 1 femme sur 3 a été victime d’au moins une agression sexuelle depuis l’âge de 16 ans. 1 homme sur 6 sera victime d’une agression sexuelle au cours de sa vie. On peut aussi déduire qu’étant donné que 78,1% des victimes sont des femmes, on a pas mal trouvé le public cible. On dit que 96,8% des agresseurs sont des hommes, alors on peut clairement comprendre de cette statistique que bien souvent, l’agression suit la dynamique d’homme dominant versus femme soumise. Si on prend également en considération le fait que le ⅔ des victimes ont moins de 18 ans, contrairement aux agresseurs, qui sont majoritairement âgés de plus de 18 ans, la dynamique de domination est encore plus visible. Les victimes sont généralement de jeunes femmes, alors. Évidemment, loin de moi l’idée de diminuer l’expérience des victimes masculines et d’éliminer la présence des agresseurs de sexe féminin. On parle de statistiques, et les statistiques ont souvent tendance à taire les expériences des 21,9% des hommes victimes d’agressions sexuelles. Eux aussi, ont droit à leur voix, parce que 100% des victimes vivent avec des séquelles de ces événements.

«Ben là, je le savais pas»

Ce qu’on a entendu, suite aux allégations d’Éric Salvail, c’est qu’il ignorait l’ampleur de ses gestes et leurs impacts. C’est la phrase la plus importante jamais dite par rapport au harcèlement sexuel, selon moi. Non seulement, ça démontre l’inconscience présente chez les agresseurs, mais aussi le manque flagrant d’éducation par rapport au sujet. Ça démontre qu’on n’en parle pas assez, que la conversation n’est pas diversifiée, voire même présente. On peut facilement dire qu’on ne savait pas, c’est facile, personne ne peut nous en vouloir, on peut se cacher derrière notre ignorance, à l’abri du jugement. Sauf que «ben là, je savais pas», au tribunal, ça ne passe pas comme un argument valide. Dans la société, le standard devrait être similaire. Personne ne peut t’en vouloir de ne pas savoir, mais on peut t’en vouloir de ne pas avoir réfléchi aux conséquences, de ne pas t’être informé sur le sujet, de ne pas t’être arrêté toi-même pour te demander si ce que tu t’apprêtes à faire est respectueux. La prochaine fois que tu pense sortir une blague de sexe, pense au fait que c’est pas tout le monde dans la pièce qui peut avoir le même niveau de confort que toi, par rapport à la sexualité. Pense au fait que peut-être que tu pourrais offenser quelqu’un avec tes propos. Je te dis pas de fermer ta gueule, d’avaler ta pilule et de ne jamais rire en parlant de sexe, je te propose simplement de t’assurer que tu ris avec des personnes qui vont trouver ça drôle, pas blessant. Je te propose de t’excuser, si tu offenses quelqu’un involontairement. C’est un simple geste qui peut faire une différence, pour la vie en communauté en général.

Gabrielle Hurteau

Celle dont j’ai toujours rêvé

Cassandra Verge, critique littéraire

Résumé du livre

Ce roman écrit par Meredith Russo raconte l’histoire d’Andrew, un garçon pas comme les autres dont le rêve le plus cher est de changer de sexe; à partir de ce moment, il s’appellera Amanda. Pour moi, ce livre est un chef d’œuvre rempli de sensibilité et de réalisme.  Tout au fil du livre, on découvre les problèmes d’intégration que rencontrent les  jeunes comme lui. Au début de l’histoire, Amanda débarque dans une nouvelle ville pour habiter chez son père. Dès lors, on peut ressentir la tension palpable entre les deux êtres. Alors, s’installe un respect mutuel qui pourra survivre à toutes les épreuves.

La transition

Andrew/Amanda arrive dans un nouveau patelin où tous se connaissent depuis l’enfance. La transition ayant été effectuée ailleurs, personne ne se doute qu’Amanda ait déjà été d’un autre sexe.  La plupart des gens qu’elle côtoie la juge selon son physique plutôt que sa personnalité. Pour eux, la jeune fille n’est personne d’autre que la nouvelle super sexy qui fait tourner toutes les têtes des joueurs de football. Le seul hic est la  barrière qu’elle érige tout autour d’elle et dont personne ne peut traverser. Le stratagème fonctionne jusqu’à l’arrivée de Grant et Bee qui bouleverseront toutes ses certitudes, au niveau social comme au niveau personnel.

Mon opinion

Je ne crois sincèrement pas que ce roman a changé ma vision de la vie. Ce n’était pas le premier livre que je lisais sur le sujet, mais il est de loin celui qui m’a fait le plus réfléchir sur l’état de la société actuelle. Il est évident que nous sommes, en majorité, intolérants aux autres que ce soit par nos paroles, notre façon d’agir ou même nos blagues. Sans s’en rendre compte, il se peut que l’on blesse quelqu’un et il ne faut pas avoir peur de s’excuser. Je crois qu’il serait important d’en parler, mais surtout de lire toutes les œuvres que nos auteurs québécois s’efforcent de publier pour sensibiliser les gens autour de nous. S’il vous plait, faites attention à votre entourage. Il pourrait vous suffire d’une phrase pour détruire à jamais la vie de quelqu’un. Pensez-y.

 

La musique, une partie de ma vie

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Ah, la musique, je pense qu’elle occupe une grande partie de nos vies. C’est vrai qu’elle est très présente partout autour de nous, que ce soit à la radio, sur nos appareils électroniques ou  à la télévision, elle fait partie de notre quotidien. Mais,  je ne veux pas vous parler d’Ed Sheeran ou de Drake, je veux vous parler d’un autre genre de musique. Celle qu’on joue par nous-mêmes, à l’Harmonie.
Eh oui, je sais, ce n’est pas tout le monde qui est tenté de jouer de la musique. Vous préférez vous contenter de l’écouter. Mais je tiens quand même à vous parler de cette grande famille qu’est l’Harmonie.
Comment développer la passion
Premièrement, comment devient-on musicien? Comment la musique fait-elle pour devenir une passion chez nous ? Bon, évidemment, si chez toi, il y a déjà des musiciens, probablement que tu seras plus tenté d’aller en musique, mais pas nécessairement. Tu pourrais  juste écouter une pièce de l’Harmonie, par exemple le thème de Star Wars, avoir un coup de cœur et te dire: « Moi, plus tard, c’est ça que je veux jouer ».  C’est peut-être ce petit moment qui va te pousser à aller plus loin dans le domaine. Si la musique t’intéresse, pourquoi ne pas prendre un instrument et pratiquer? Oui, au début, je suis d’accord, c’est long, surtout quand ce sont des pièces débutantes qu’on joue, mais à force de pratiquer, peut-être deviendras-tu musicien, toi aussi. Ce qu’il faut pour arriver à ce stade, comme toute personne l’a toujours dit, c’est de la pratique.
Comment on se prépare au concert
Comment ça se passe à l’Harmonie ?  Chaque mercredi, après l’école, on se rejoint au local de Michel Painchaud, notre enseignant et chef d’orchestre, pour s’installer. On se dirige ensuite en cubicule où l’on pratique nos pièces en section (chaque groupe d’instruments). C’est seulement après que l’on se réunit dans le local pour jouer tous ensemble. Évidemment, au début de l’année, c’était moins bon, mais au fil des répétitions, on s’est extrêmement amélioré et nos pièces prennent forme. Une chance, parce qu’on a un concert de Noël bientôt. Si cela vous intéresse, allez voir Michel Painchaud à son local (C-121), il vous donnera toutes les informations. Ça nous fera très chaud au cœur, à tous les membres de l’Harmonie.
Le 20 décembre est une date à retenir !
En parlant d’un concert de Noël, mercredi le 20 décembre, les Harmonies junior et senior se donneront en spectacle à la cafétéria nord. Si cela vous intéresse, allez voir Michel Painchaud, comme j’ai dit un peu plus tôt, pour plus d’informations. Qu’allons-nous jouer au concert? Évidemment, des pièces de Noël et aussi quelques pièces supplémentaires, nous allons aussi chanter une chanson. Les deux harmonies et moi espérons vous voir en grand nombre.
Pour terminer, la musique, c’est extraordinaire. J’espère que mon premier article aura su vous intéresser ou peut-être même vous faire découvrir une nouvelle passion.

Connaissons-nous vraiment nos profs? Qui est Karine Chabot?

Cassandra Verge, journaliste

Karine Chabot est une personne naturellement souriante et très sympathique.

Saviez-vous qu’initialement, elle rêvait de devenir technicienne en éducation spécialisée?

Ce qui l’a fait changer d’avis?

 

Karine ne voulait pas passer sa vie à sortir les élèves de leurs classes parce qu’ils sont trop turbulents. Elle savait par contre qu’elle voulait travailler auprès des enfants. Cette jeune enseignante a commencé sa carrière à l’école secondaire l’Odyssée. Son premier contrat a été un cours d’économie familiale. Elle a adoré donner ce cours où l’on apprenait à coudre, à faire à manger, à établir un budget et toutes sortes d’activités qui aidaient les jeunes à commencer leur vie d’adulte du bon pied. Karine a trouvé très enrichissant d’enseigner ce cours qui ne se donne plus aujourd’hui. Dès sa deuxième année d’enseignement, la jeune femme a trouvé un poste où elle a eu sa permanence. En entrevue, je lui ai demandé pourquoi elle avait choisi d’enseigner le français au secondaire, à quoi elle a répondu que les élèves sont plus matures qu’au primaire, qu’elle aimait discuter avec eux, car ils pouvaient avoir de franches discussions sur toutes sortes de sujets. Karine m’a aussi avoué avoir peur de ne pas être assez maternelle pour les enfants du primaire. Aujourd’hui, cette enseignante est très satisfaite de son choix de carrière, car elle aime sa relation avec ses élèves, elle tente de partager ses valeurs et son amour du métier. Par contre, comme dans tous les métiers, il y a des inconvénients, des défis. Ceux de Karine sont parfois qu’elle tente par tous les moyens d’aider des élèves qui ne veulent pas se faire aider. Évidemment, elle souhaite que tous ses élèves améliorent leurs notes et tentent de faire le meilleur d’eux-mêmes; ce qui n’est pas toujours le cas.

 

Mon opinion 

Pour moi, Karine est un très bon professeur puisqu’elle est attentive aux besoins de ses nombreux élèves. Elle est toujours souriante en classe et elle nous permet souvent de travailler en équipe. Cette enseignante prend soin de choisir des romans obligatoires qui intéresseront aussi bien les grands lecteurs comme moi que les gens qui ne lisent rien d’autre que des publications Facebook. Elle a plusieurs jours de récupération par semaine, ce qui nous permet de rattraper notre retard ou d’enfin comprendre ce qui n’était qu’un grand vide intersidéral dans l’espace de notre cerveau. J’aime cette personne parce qu’elle est franche et sincère avec ses élèves, qu’elle ose faire des plaisanteries avec eux au sujet de leur style de musique ou encore de leurs choix de mots dans une situation d’écriture. Parfois, on pourrait la prendre pour une des nôtres tant son niveau d’adaptation est élevé. En quelques mots, je trouve que Karine Chabot est une très bonne prof de français et c’est pourquoi je veux que tout le monde la connaisse.

 

À Armand-Corbeil, on bouge la nuit!

 

 

 

 

Ophélie Rancourt, journaliste

On bouge la nuit est une levée de fonds organisée par: Chantale Alarie, Josée Rochefort, Julie Alarie, Frédérik Martineau et Simon Brisebois, qui consistait à ce que les jeunes de première secondaire du programme PEI fassent divers sports tout au long de la nuit du 16 au 17 novembre 2017, afin de ramasser de l’argent pour Leucan.

 

Leucan, c’est quoi au juste?

Leucan est une association venant en aide aux enfants atteints du cancer. Elle offre de l’aide financière, de la massothérapie, de l’animation en salle de jeu en milieu hospitalier, des activités sociorécréatives, en plus de la sensibilisation scolaire, de l’accompagnement en fin de vie et des suivis de deuil. De plus, plusieurs autres services en lien avec les jeunes, leurs parents ainsi que leurs familles sont aussi disponibles.

En quoi consistait cette levée de fonds?

Lors de la nuit, plus de soixante jeunes se sont réunis pour faire des sports tels que du hockey cosom, du basketball, du volleyball, du DBL, du Spike Ball, du ballon chasseur et du soccer. L’équipe remportant le plus de parties et de points d’esprit d’équipe remporterait la victoire! L’équipe gagnante se nommait « les Audacieux ». Au cours de la nuit, les élèves ont eu la chance de créer de nouveaux liens et surtout… de s’amuser!

Ça se passait quand?

Ce fut une très belle soirée qui se passa dans le bloc des sports de 21h à 6h le lendemain matin, lors de la nuit de 16 au 17 novembre 2017. Au cours de la soirée, nous avons amassé 1222,12$.

Remerciements

Plusieurs personnes se sont portées volontaires pour la cause et je tiens à les remercier d’avoir eu un si bon cœur et d’être venues nous encourager tout au long de la nuit. C’est une expérience qui, je l’espère, sera répétée dans les années qui suivront et qui, souhaitons-le, saura attirer des jeunes aussi exceptionnels que ceux qui ont été les ‘’pionniers’’. Un grand merci à tous les bénévoles ayant participé à cette activité avec enthousiasme! Les enfants vous en sont extrêmement reconnaissants!

 

Les mentions d’honneur

Message du comité émulation et persévérance scolaire

Encore une fois cette année, le comité émulation et persévérance scolaire a souligné l’accomplissement de nombreux élèves s’étant démarqués par leurs efforts ou leur comportement. En tout, plus de 1000 élèves ont reçu une mention d’honneur accordée par leurs enseignants dans l’une des catégories suivantes :

 

 

· Rendement scolaire                                                · Persévérance

· Responsabilité                                                           · Participation

· Comportement exemplaire                               · Amélioration

· Qualité de la langue française

 

Pour encourager ces élèves, le comité a organisé un tirage en guise de récompense. Les 26 gagnants du tirage ont reçu un certificat cadeau de 20$ des Galeries de Terrebonne, un certificat mention et un morceau de gâteau afin de souligner l’événement. Il nous fait plaisir d’annoncer les gagnants du tirage de l’étape 1 et, par le fait même, de les féliciter et de les encourager à poursuivre dans leurs attitudes gagnantes menant à la réussite scolaire.

Félicitations à :

 

 

Bachiri, ImaneFournier, RosanneMyre, Brandon
Beauchemin, PénélopeGagnon, LéoOuellet, Mégane
Bouthillette, AlisonGagnon, SébastienRamhit, Chuksita
Coutu-Grenier, AlexiaGenest, MathieuRobert, Julianne
Deschênes-Hamel, ÉlodyGoudreault, ArielleRoss, Lori Kim
Dubeau, CharlieLanglois, CoralieSénécal, William
Dugas, KimLanglois, OcéanneSt-Yves, Francis
Forest, BritanieLarrivée, DavidTurgeon, Nicolas
Fortier, AntoineMucienko-Tremblay,Sabrina

La série Cherub

Cassandra Verge, journaliste

 

La série Cherub est l’un de mes coups de cœur le plus récent. Cette série de livres d’action a été écrite par Robert Muchamore au début des années 2000. Les livres peuvent compter entre 300 et 400 pages. En résumé, c’est un groupe d’enfants agents secrets âgés entre 10 et 17 ans formés pour infiltrer les réseaux criminels les plus dangereux. Le gouvernement britannique les paie pour effectuer le travail d’infiltration qu’aucun adulte ne serait capable d’accomplir, car les criminels seraient plus portés à avoir des soupçons sur eux que sur une bande d’enfants. Il est important de savoir que tous les agents de Cherub sont orphelins, mais qu’ensemble, ils forment une très grande famille unie.

Au fil des tomes, on rencontre le personnage principal, James Choke, un brillant mathématicien aimant récolter les punitions et les suspensions. Ce jeune garçon a vécu avec sa mère, son beau-père et sa demi-sœur en plein centre de l’Angleterre jusqu’au jour où James et sa sœur, Lauren, deviennent orphelins. S’ensuit alors une suite d’évènements des plus invraisemblables. Arrivés à Cherub, les deux enfants ont l’impression de vivre dans un rêve tellement la vie là-bas est géniale. Ils rencontrent des tas d’autres gens qui, comme eux, sont devenus seuls du jour au lendemain.

J’ai beaucoup aimé cette série à cause de l’originalité de l’histoire. Je n’ai pas souvent lu de roman où le personnage principal est un espion. J’ai aussi aimé qu’il y ait une part de vérité dans chaque livre. Par exemple, dans un des tomes, James et sa sœur sont appelés à infiltrer une secte dont le gourou est un homme très mesquin et manipulateur. J’ai aimé le lire, mais certaines parties du livre m’ont effrayée. J’ai trouvé ça très réaliste. Je trouve seulement ça dommage que certaines personnes profitent des faiblesses des autres pour leur propre bien. Pourtant, de telles sectes existent encore dans le monde entier, que ce soit dans les pays développés ou sous-développés. J’aime beaucoup la façon d’écrire de Robert Muchamore : il utilise un vocabulaire varié, mais pas trop complexe à comprendre pour les lecteurs moins expérimentés. Je recommanderais cet auteur à tous les passionnés d’action et même à ceux qui n’aiment pas trop ce type de livres.

Enfin, pour ceux qui sont intéressés à lire cette suite de livres absolument fantastique, elle est disponible à la bibliothèque de l’école.

Destination les Carolines et la Géorgie 

Alexandra Turcot, journaliste voyage

 

Cet été, j’ai eu la fantastique chance de passer dix jours dans les états de la Caroline et de la Géorgie. Avec un seul coup d’œil, certains de vous trouveront ces destinations banales, ordinaires ou même ennuyantes. Je ne vais pas vous le cacher, j’avais cette pensée, mais c’est totalement faux. Je vais vous faire découvrir, dans une petite compilation, ces petits coins sous-représentés.

 

Birkdale Village, Caroline du Nord

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Connu pour ses petits magasins et restaurants, le Birkdale Village est un petit endroit merveilleux. Entourée de petites maisons « style américain », cette place vaut le détour. À l’intérieur, tout plein de petites boutiques s’y retrouvent. On peut voir des magasins de tous genres : vêtements, bijoux, produits pour le corps, épices, sucreries, etc. Bref, tout le monde y trouve son compte. De plus, un petit parc traverse cet endroit, ce qui le rend plus charmant. Ce lieu est magnifique et agréable.

 

Bad Daddy’s Burger et Charming Charlie, Caroline du Nord

 

Ces deux petits endroits sont situés dans Birkdale. Pour le premier, celui-ci est un restaurant très typique des États-Unis. On y sert des « burgers américains ». Ils sont tout simplement énormes. Avec fromage, bacon frit, patate, double boulette, croustilles, tout est possible chez Bad Daddy’s. Je vous recommande surtout les frites faites à partir de patates douces.

Pour ce qui est du Charming Charlie, celui-ci est un magasin où nous pouvons trouver des vêtements et des accessoires uniques en leur genre. J’ai pu trouver une montre avec la carte du monde en arrière-plan. Elle est magnifique. On peut voir d’autres choses aussi, bien sûr. Allez voir leur boutique en ligne si vous êtes curieux ou curieuses!

Galway Hookers, Caroline du Nord

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Reconnu pour son charme, ce pub irlandais est complètement génial. On se croit en Irlande pour quelques instants. Son décor est tout à fait typique irlandais. Qu’est-ce que je recommande? Le Sherpherd’s Pie. C’était délicieux. En résumé, ceci est un ensemble de petits pois et de carottes dans une sauce brune épaisse garnie de patates gratinées. On peut le caractériser comme réconfortant.

 

Historic District, Savannah, Géorgie

    

Savannah est une ville qui sort de l’ordinaire. La plupart des maisons sont de style victorien. La construction des demeures date des années 1800, ce qui est impressionnant. Elles sont superbes. De plus, les arbres dans cette ville sont très particuliers. Ce sont de très gros arbres avec des feuilles tombantes. Lorsqu’il pleut, la ville a l’air plutôt triste, mais ensoleillée, c’est totalement différent.

 

City Market, Savannah, Géorgie

Le City Market est un petit marché où on peut trouver seulement des boutiques locales et des galeries d’art. Mon coup de cœur de cet endroit est le Savannah’s Candy Kitchen. Ce magasin vend des confiseries « style du Sud ». Selon leur histoire, cette boutique aurait gardé les mêmes recettes depuis plus de cinquante ans. Leurs spécialités sont les pacanes pralinées, leur fudge et leur fameux Pecan Gophers. Ceux-ci sont faits à base de pacanes, de chocolat et de caramel. Lorsqu’on va dans la deuxième partie du magasin, on peut voir un énorme mur de friandises. C’est hallucinant!

 

Tybee Island, Géorgie

Crédit photos: Alexandra Turcot

Cette plage, donnant sur l’océan Atlantique, est magnifique. C’est un endroit très agréable; la mer est chaude et très tranquille. Je vous conseille d’apporter un parasol et de la crème solaire, car le soleil est accablant. On peut voir des crabes se promener sur la plage, donc faites attention où vous mettez les pieds.

 

Paris Market, Savannah, Géorgie

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Aimez-vous le vintage? Si oui, cette boutique est faite pour vous. On peut y trouver des chandelles, de vieux livres, de la vaisselle et même des friandises. Cet endroit en vaut le détour!

 

La ville de Charleston, Caroline du Sud

Crédit photos: Alexandra Turcot
Crédit photos: Alexandra Turcot
Crédit photos: Alexandra Turcot

   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cette ville est tout à fait splendide! En effet, elle est remplie de petites boutiques, de jolies maisons, d’églises et d’éléments architecturaux uniques. Charleston est située sur le bord de l’eau. Elle est entourée de très grands palmiers. Cette place a une fontaine assez originale; elle est en forme d’ananas. Il faut la voir une fois dans sa vie!

 

Cet article est un bref résumé de mes vacances aux États-Unis. J’espère que cela vous a plu et que je vous ai donné le goût d’aller y faire un petit tour.

 

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